Six heures quinze : Béatrice se lève comme à son habitude, elle enfile sa robe de chambre et va voir le temps qu’il fait dehors. Elle regarde la petite fille qui passe chaque matin pour elle ne sait quelle raison. Après que la petite fille ait tourné au coin de la rue Saint-Martin du 16e arrondissement elle va voir son chien et lui donne à manger comme à son habitude puis elle mange en même temps une tartine avec de la confiture qui a une apparence étrange.
Il est maintenant sept heures : elle sort Sapique son chien, elle va faire le même tour que chaque matin où elle travaille mais une chose la dérange : la petite fille la suit.
"Etrange se dit-elle à voix basse pourquoi elle me suit, elle ne l’a jamais fait jusqu’ici ?" Béatrice accélère le pas pour voir si celle-ci la suit et la petite fille n’accélère pas mais la suit toujours. Alors Béatrice s’arrête et l’attend. La petite fille arrive mais elle n’accélère pas le pas pour le moins du monde, elle doit avoir une dizaine d’années et elle est d’un brun splendide avec de petites boucles anglaises. Quand elles sont toutes deux assez proches, Béatrice lui demande ce qu’elle lui veut. La petite fille reste silencieuse quelques secondes puis entame la discussion.
Elle lui demande si elle travaille dans une banque n’est ce pas ? Béatrice acquiesce.
"Oui, comment le sais-tu petite ?" Béatrice est stupéfaite qu’elle le sache car elle a des voisins à qui elle ne parle jamais et elle ne parle même pas à ses collègues de travail, elle ne parle à personne, à cause de sa timidité irrépressible. Sapique s’est couché et attend que la scène se passe il doit avoir compris que la petite fille est inoffensive car il ne fait même pas attention à elle.
Puis elle enchaîne.
"Mon père m’a dit que vous habitiez ici, chaque matin je dois aller vous voir mais je n’ose pas mais là, je me suis trahie quand j’ai couru pour vous rattraper enfin rester à quelques mètres de vous. Mon père est allemand et personne ne l’accepte comme employé car il ne parle pas français, enfin pas encore très bien car il apprend et je pense que vous pourriez l’aider à apprendre car si je ne me trompe pas, d’après une de vos collègues, vous êtes allemande et vous parlez très bien français."
Béatrice ne comprend pas comment la petite fille a fait pour savoir et ses collègues par la même occasion. Mais elle s’en fiche bien. Béatrice est considérée en Allemagne par sa famille comme une sœur Theresa : elle est toujours prête à aider quelqu’un, ce qui l’avait forcé à divorcer car elle avait aidé un de ses amis mais son mari ne voulait pas entendre raison il était persuadé qu’elle le trompait.
"Attends, dit Béatrice à la petite fille, je rentre chez moi puis préviens mon employeur que je ne serai pas là aujourd’hui. Viens avec moi et après on ira chez toi pour que je vois si je peux aider ton père."
Les deux filles vont alors chez Béatrice, elle pose sa journée de congé puis elles vont chez la petite fille, ils habitent dans un appartement médiocre : une salle de bain, une chambre avec deux lits et un petit salon mais avec de très beaux décors.
Un homme assez séduisant, il faut avouer : il est brun comme sa fille mais sans les boucles anglaises bien évidemment.
- Bonjour monsieur, je me présente Béatrice M.
- Oui, je sais qui vous êtes.
Béatrice ne sait quoi dire, elle se trouve stupide car le père de la jeune fille a très bien parlé français.
- Ma fille a du vous dire cela pour que vous acceptiez de venir, il n’y a pas très longtemps je vous ai aperçue. Vous ne devez pas me reconnaître mais si je vous dis mon nom vous vous souviendrez de moi.
- Non, désolé je ne vous reconnais pas. Je dois vous l’avouer mais dites moi toujours votre nom.
- Tomas Herchikét.
Béatrice se pose plein de questions, elle sait qu’elle l’a déjà vu quelque part mais elle a beau chercher cela ne lui revient pas.
- Au lycée.
Béatrice se met à sourire, elle se rappelle enfin.
- Mais oui bien sûr, je m’en souviens mais que faites-vous ici ?
- Jai été muté en France dans une agence de traduction mais il y a peu de temps je me suis fait virer car j’ai été beaucoup absent car je suis retourné voir ma mère souffrante en Allemagne, mon patron n’a rien voulu savoir mais bon, à présent c’est du passé et toi que deviens- tu ?
- Je travaille dans une compagnie d’assurances plus ou moins connue, je suis divorcée et à présent j’ai un chien c’est de bien meilleure compagnie que mon ex-mari.
- Je suis désolé pour ton ex mari.
Thomas a besoin d’un service : il lui explique toute l’histoire puis la persuade de l’aider alors Béatrice ne peut pas s’empêcher de l’aider puis ils se quittent. Béatrice rentre chez elle.
Neuf heures trente : Béatrice appelle son patron et lui annonce qu’elle pourra venir au travail cet après-midi et elle s’excuse de ne pas avoir pu ce matin venir travailler
Treize heures : comme à son habitude pour ne pas changer, elle va travailler quand elle arrive il est treize heures. Elle se met à son poste et reçoit les clients et tous les papiers à remplir enfin c’est son boulot : la paperasse c’est le train-train habituel.
Dix-huit heures vingt-cinq : Béatrice arrive chez elle et nourrit le chien puis va le sortir. Elle voit de loin la petite fille qui semble l’observer, Béatrice se demande ce qu’elle peut faire à l’observer comme cela en permanence. Cette attitude commence à l’agacer puis elle rentre chez elle comme si de rien était. Elle mange et regarde la télé puis va se coucher.
Six heures quinez : Béatrice se lève puis fait ses activités habituelles.
Neuf heures : elle arrive à son travail mais à la place d’aller directement à son poste, elle entre dans le bureau de son directeur et cherche des documents sur une certaine Amanda Lunirac, jeune fille française, Thomas lui a demandé de trouver des informations sur elle car il la soupçonne d’un meurtre mais il n’a rien sur elle et la seule personne qui peut l’aider est Béatrice. Elle se hâte de trouver des renseignements mais son patron est arrivé comme par hasard plus tôt que d’habitude, alors elle improvise et dit qu’elle cherche des documents sur la jeune fille espérant qu’il les lui donne mais c’est en vain. Elle tourne les talons puis va à son poste, elle cherche une solution puis elle se rappelle que le patron a un coffre où tous les renseignements sont entreposés mais il faut que quelqu’un lui donne le code puis elle pense à une de ses collègues qui le connait et qui est assez bête pour lui donner. Mais elle préfère rentrer chez elle et voir cela le lendemain matin.
Dix-huit heures ving-cinq : elle nourrit le chien et va le promener, elle mange, regarde la télé et enfin va se coucher.
Six heures quinze : elle recommence sa journée mais là, au lieu d’aller se promener avec son chien après l’avoir nourri, elle va directement à son travail et va voir sa collègue et lui soutire le code. Alors, vers midi elle retourne dans le bureau de son patron et lui soutire les informations nécessaires puis elle retourne à son poste comme à son habitude.
Seize heures trente-deux : elle va chez son ami et lui donne les renseignements puis retourne chez elle et recommence à faire sa vie mais un matin alors qu’elle lit le journal elle voit comme gros titre :
Il est maintenant sept heures : elle sort Sapique son chien, elle va faire le même tour que chaque matin où elle travaille mais une chose la dérange : la petite fille la suit.
"Etrange se dit-elle à voix basse pourquoi elle me suit, elle ne l’a jamais fait jusqu’ici ?" Béatrice accélère le pas pour voir si celle-ci la suit et la petite fille n’accélère pas mais la suit toujours. Alors Béatrice s’arrête et l’attend. La petite fille arrive mais elle n’accélère pas le pas pour le moins du monde, elle doit avoir une dizaine d’années et elle est d’un brun splendide avec de petites boucles anglaises. Quand elles sont toutes deux assez proches, Béatrice lui demande ce qu’elle lui veut. La petite fille reste silencieuse quelques secondes puis entame la discussion.
Elle lui demande si elle travaille dans une banque n’est ce pas ? Béatrice acquiesce.
"Oui, comment le sais-tu petite ?" Béatrice est stupéfaite qu’elle le sache car elle a des voisins à qui elle ne parle jamais et elle ne parle même pas à ses collègues de travail, elle ne parle à personne, à cause de sa timidité irrépressible. Sapique s’est couché et attend que la scène se passe il doit avoir compris que la petite fille est inoffensive car il ne fait même pas attention à elle.
Puis elle enchaîne.
"Mon père m’a dit que vous habitiez ici, chaque matin je dois aller vous voir mais je n’ose pas mais là, je me suis trahie quand j’ai couru pour vous rattraper enfin rester à quelques mètres de vous. Mon père est allemand et personne ne l’accepte comme employé car il ne parle pas français, enfin pas encore très bien car il apprend et je pense que vous pourriez l’aider à apprendre car si je ne me trompe pas, d’après une de vos collègues, vous êtes allemande et vous parlez très bien français."
Béatrice ne comprend pas comment la petite fille a fait pour savoir et ses collègues par la même occasion. Mais elle s’en fiche bien. Béatrice est considérée en Allemagne par sa famille comme une sœur Theresa : elle est toujours prête à aider quelqu’un, ce qui l’avait forcé à divorcer car elle avait aidé un de ses amis mais son mari ne voulait pas entendre raison il était persuadé qu’elle le trompait.
"Attends, dit Béatrice à la petite fille, je rentre chez moi puis préviens mon employeur que je ne serai pas là aujourd’hui. Viens avec moi et après on ira chez toi pour que je vois si je peux aider ton père."
Les deux filles vont alors chez Béatrice, elle pose sa journée de congé puis elles vont chez la petite fille, ils habitent dans un appartement médiocre : une salle de bain, une chambre avec deux lits et un petit salon mais avec de très beaux décors.
Un homme assez séduisant, il faut avouer : il est brun comme sa fille mais sans les boucles anglaises bien évidemment.
- Bonjour monsieur, je me présente Béatrice M.
- Oui, je sais qui vous êtes.
Béatrice ne sait quoi dire, elle se trouve stupide car le père de la jeune fille a très bien parlé français.
- Ma fille a du vous dire cela pour que vous acceptiez de venir, il n’y a pas très longtemps je vous ai aperçue. Vous ne devez pas me reconnaître mais si je vous dis mon nom vous vous souviendrez de moi.
- Non, désolé je ne vous reconnais pas. Je dois vous l’avouer mais dites moi toujours votre nom.
- Tomas Herchikét.
Béatrice se pose plein de questions, elle sait qu’elle l’a déjà vu quelque part mais elle a beau chercher cela ne lui revient pas.
- Au lycée.
Béatrice se met à sourire, elle se rappelle enfin.
- Mais oui bien sûr, je m’en souviens mais que faites-vous ici ?
- Jai été muté en France dans une agence de traduction mais il y a peu de temps je me suis fait virer car j’ai été beaucoup absent car je suis retourné voir ma mère souffrante en Allemagne, mon patron n’a rien voulu savoir mais bon, à présent c’est du passé et toi que deviens- tu ?
- Je travaille dans une compagnie d’assurances plus ou moins connue, je suis divorcée et à présent j’ai un chien c’est de bien meilleure compagnie que mon ex-mari.
- Je suis désolé pour ton ex mari.
Thomas a besoin d’un service : il lui explique toute l’histoire puis la persuade de l’aider alors Béatrice ne peut pas s’empêcher de l’aider puis ils se quittent. Béatrice rentre chez elle.
Neuf heures trente : Béatrice appelle son patron et lui annonce qu’elle pourra venir au travail cet après-midi et elle s’excuse de ne pas avoir pu ce matin venir travailler
Treize heures : comme à son habitude pour ne pas changer, elle va travailler quand elle arrive il est treize heures. Elle se met à son poste et reçoit les clients et tous les papiers à remplir enfin c’est son boulot : la paperasse c’est le train-train habituel.
Dix-huit heures vingt-cinq : Béatrice arrive chez elle et nourrit le chien puis va le sortir. Elle voit de loin la petite fille qui semble l’observer, Béatrice se demande ce qu’elle peut faire à l’observer comme cela en permanence. Cette attitude commence à l’agacer puis elle rentre chez elle comme si de rien était. Elle mange et regarde la télé puis va se coucher.
Six heures quinez : Béatrice se lève puis fait ses activités habituelles.
Neuf heures : elle arrive à son travail mais à la place d’aller directement à son poste, elle entre dans le bureau de son directeur et cherche des documents sur une certaine Amanda Lunirac, jeune fille française, Thomas lui a demandé de trouver des informations sur elle car il la soupçonne d’un meurtre mais il n’a rien sur elle et la seule personne qui peut l’aider est Béatrice. Elle se hâte de trouver des renseignements mais son patron est arrivé comme par hasard plus tôt que d’habitude, alors elle improvise et dit qu’elle cherche des documents sur la jeune fille espérant qu’il les lui donne mais c’est en vain. Elle tourne les talons puis va à son poste, elle cherche une solution puis elle se rappelle que le patron a un coffre où tous les renseignements sont entreposés mais il faut que quelqu’un lui donne le code puis elle pense à une de ses collègues qui le connait et qui est assez bête pour lui donner. Mais elle préfère rentrer chez elle et voir cela le lendemain matin.
Dix-huit heures ving-cinq : elle nourrit le chien et va le promener, elle mange, regarde la télé et enfin va se coucher.
Six heures quinze : elle recommence sa journée mais là, au lieu d’aller se promener avec son chien après l’avoir nourri, elle va directement à son travail et va voir sa collègue et lui soutire le code. Alors, vers midi elle retourne dans le bureau de son patron et lui soutire les informations nécessaires puis elle retourne à son poste comme à son habitude.
Seize heures trente-deux : elle va chez son ami et lui donne les renseignements puis retourne chez elle et recommence à faire sa vie mais un matin alors qu’elle lit le journal elle voit comme gros titre :
« UN HOMME NOMME THOMAS HERCHIKET A TUE UNE JEUNE FEMME DU NOM DE AMANDA LUNIRA »
6h15 : Béatrice se lève comme à son habitude, elle enfile sa robe de chambre et va voir le temps qu’il fait dehors. Elle regarde la petite fille qui passe chaque matin pour elle ne sait quelle raison. Après que la petite fille ait tourné au coin de la rue st martin du 16ème arrondissement elle va voir son chien et lui donne à manger comme à son habitude puis elle mange en même temps une tartine avec de la confiture qui a une apparence étrange.
Il est maintenant 7h : Elle sort Sapique son chien, elle va faire le même tour que chaque matin où elle travaille mais une chose la dérange : la petite fille la suivait.
- Etrange se dit-elle à voix basse pour quoi elle me suit, elle ne l’a jamais fait jusqu’ici ? Béatrice accélère le pas pour voir si celle-ci la suit et la petite fille n’accélère pas mais la suit toujours. Alors Béatrice s’arrête et l’attend. La petite fille arrive mais elle n’accélère pas le pas pour le moins du monde, elle doit avoir une dizaine d’années et elle est d’un brun splendide avec de petites boucles anglaises. Quand elles sont toutes deux assez proches, Béatrice lui demande ce qu’elle lui veut. La petite fille reste silencieuse quelques secondes puis entame la discussion
Elle lui demande si elle travaille dans une banque n’est ce pas ? Béatrice acquiesce.
- Oui, comment le sais- tu petite ? Béatrice est stupéfaite qu’elle le sache car elle a des voisins à qui elle ne parle jamais et elle ne parle même pas à ses collègues de travail, elle ne parle à personne, à cause de sa timidité irréversible. Sapique s’est couché et attend que la scène se passe il doit avoir compris que la petite fille est inoffensive car il ne fait même pas attention à elle.
Puis elle enchaine
- Mon père m’a dit que vous habitiez ici, chaque matin je dois aller vous voir mais je n’ose pas mais là, je me suis trahie quand j’ai couru pour vous rattraper enfin rester à quelques mètres de vous. Mon père est allemand et personne ne l’accepte comme employé car il ne parle pas français enfin pas encore très bien car il apprend et je pense que vous pourriez l’aider à apprendre car si je ne me trompe pas, d’après une de vos collègues, vous êtes allemande et vous parlez très bien français.
Béatrice ne comprend pas comment la petite fille a fait pour savoir et ses collègues par la même occasion. Mais elle s’en fiche bien. Béatrice est considérée en Allemagne par sa famille comme une sœur Theresa : elle est toujours prête à aider quelqu’un, ce qui l’avait forcé à divorcer car elle avait aidé un de ses amis mais son mari ne voulait pas entendre raison il était persuadé qu’elle le trompait.
- Attends, dit Béatrice à la petite fille, je rentre chez moi puis préviens mon employeur que je ne serai pas là aujourd’hui. Vient avec moi et après on ira chez toi pour que je vois si je peux aider ton père.
Les deux filles vont alors chez Béatrice, elle pose sa journée de congé puis elles vont chez la petite fille, ils habitent dans un appartement médiocre : une salle de bain, une chambre avec deux lits et un petit salon mais avec de très beaux décores.
Un homme assez séduisant, il faut avouer : il était brun comme sa fille mais sans les boucles anglaises bien évidemment.
- Bonjour monsieur, je me présente Béatrice M.
- Oui, je sais qui vous êtes.
Béatrice ne sait quoi dire, elle se trouve stupide car le père de la jeune fille a très bien parlé français.
- Ma fille a du vous dire cela pour que vous acceptiez de venir, il n’y a pas très longtemps je vous ai aperçu. Vous ne devez pas me reconnaître mais si je vous dis mon nom vous vous souviendrez de moi.
- Non, désolé je ne vous reconnais pas. Je dois vous l’avouer mais dites moi toujours votre nom.
- Tomas Herchikét
Béatrice se pose plein de questions, elle sait qu’elle l’a déjà vu quelque part mais elle a beau chercher cela ne lui revient pas.
- Au lycée
Béatrice se met à sourire, elle se rappelle enfin.
- Mais oui bien sur, je m’en souviens mais que faites vous ici ?
- Jai été muté en France dans une agence de traduction mais il y a peu de temps je me suis fait virer car j’ai été beaucoup absent car je suis retourné voir ma mère souffrante en Allemagne, mon patron n’a rien voulu savoir mais bon à présent c’est du passé et toi que deviens- tu ?
- Je travaille dans une compagnie d’assurances plus ou moins connu, je suis divorcée et à présent j’ai un chien c’est de bien meilleure compagnie que mon ex-mari.
- Je suis désolé pour ton ex mari.
Thomas a besoin d’un service : il lui explique toute l’histoire puis la persuade de l’aider alors Béatrice ne peut pas s’empêcher de l’aider puis ils se quittent. Béatrice rentre chez elle.
9h30 : Béatrice appelle son patron et lui annonce qu’elle pourra venir au travail cet après-midi et elle s’excuse de ne pas avoir pu ce matin venir travailler
13h : Comme à son habitude pour ne pas changer, elle va travailler quand elle arrive il est treize heures. Elle se met à son poste et reçoit les clients et tous les papiers à remplir enfin c’est son boulot : la paperasse c’est le train-train habituel.
18h25 : Béatrice arrive chez elle et nourrit le chien puis va le sortir. Elle voit de loin la petite fille qui semble l’observer, Béatrice se demande ce qu’elle peut faire à l’observer comme cela en permanence. Cette attitude commence à l’agacer puis elle rentre chez elle comme si de rien était. Elle mange et regarde la télé puis va se coucher.
6h15 : Béatrice se lève puis fait ses activités habituelles.
9h : Elle arrive à son travail mais à la place d’aller directement à son poste, elle entre dans le bureau de son directeur et cherche des documents sur une certaine Amanda Lunirac, jeune fille française, Thomas lui a demandé de trouver des informations sur elle car il la soupçonne d’un meurtre mais il n’a rien sur elle et la seule personne qui peut l’aider est Béatrice. Elle se hâte de trouver des renseignements mais son patron est arrivé comme par hasard plus tôt que d’habitude, alors Elle improvise et dit qu’elle cherche des documents sur la jeune fille espérant qu’il le lui donne mais c’est en vain. Elle tourne les talons puis va à son poste, elle cherche une solution puis elle se rappelle que le patron a un coffre où tous les renseignements sont entreposés mais il faut que quelqu’un lui donne le code puis elle pense à une de ses collègues qui le connait et qui est assez bête pour lui donner. Mais elle préfère rentrer chez elle et voir cela le lendemain matin.
18h25 : Elle nourrit le chien et va le promener, elle mange, regarde la télé et enfin va se coucher.
6h15 : Elle recommence sa journée mais là, au lieu d’aller se promener avec son chien après l’avoir nourri, elle va directement à son travail et va voir sa collègue et lui soutire le code. Alors, vers midi elle retourne dans le bureau de son patron et lui soutire les informations nécessaires puis elle retourne à son poste comme à son habitude.
16h32 : Elle va chez son ami et lui donne les renseignements puis retourne chez elle et recommence à faire sa vie mais un matin alors qu’elle lit le journal elle voit comme gros titre :
« UN HOMME NOMME THOMAS HERCHIKET A TUE UNE JEUNE FEMME DU NOM DE AMANDA LUNIRA »